Immobilier à Toulouse (31000)

Toulouse… ô Toulouse… 

Dynamique grâce au secteur aérospatial, bien située entre les Pyrénées (ski, randonnées)  Méditerranée (1H30 des premières plages), elle offre la possibilité de se loger à des prix raisonnables. Idéale pour y étudier bien sûr, mais aussi pour s’y implanter durablement. La ville rose n’a pas fini de faire rêver ….. Ville de couleurs… ocre, rouge terre, violette… sa douceur de vivre attire chaque année 8 000 habitants de plus en moyenne.

En grande rénovation urbaine avec ces travaux, quartier Matabiau (gare), et les Allées Jaurès (« futures ramblas »), c’est une ville qui suit l’air du temps… Elle a été classée « Ville de Demain » ; ses transports en communs avec le développement et prolongement de la ligne Métro ; cette 3ᵉ ligne irriguera la métropole d’est en ouest, rapprochant les 2 principaux pôles de mobilité, Gare TGV et Aéroport, en reliant les pôles économiques de l’aéronautique, de l’espace et de la recherche. Mais aussi, des activités « vertes » avec le développement des promenades à pied ou à bicyclette le long de la Garonne ou du canal du midi.

Nougaro savait la chanter mieux que personne !!!

Sélection d'appartements et Maisons en vente à Toulouse 31000

Boosté par un dynamisme économique et une croissance démographique soutenue, le marché immobilier toulousain se porte bien. Les tarifs de l'ancien se sont stabilisés à des niveaux attractifs. Il existe toutefois de grosses disparités de prix selon les types de biens et les secteurs géographiques.

Dans la première couronne, le bâti est constitué en grande majorité de maisons individuelles

Pourtant, malgré son attractivité, qui s'étend bien au-delà du Languedoc-Roussillon, le marché immobilier de la préfecture de Haute-Garonne n'a jamais flambé. Avec un montant qui plafonne à 2500€ (+3,4% en 10 ans) le mètre carré, le prix moyen de l'ancien à Toulouse reste inférieur à celui de nombreuses villes françaises dont le dynamisme économique est moins éclatant : Lyon, Bordeaux, Lille ou Montpellier...

Toulouse (et son agglomération) reste la plus accessible des grandes métropoles. « Cela s'explique par des biens de qualité globalement moyenne, et par le niveau des salaires, qui sont plutôt modérés en dehors des cadres de l'aéronautique dans le département ».

Le maintien de taux d'intérêt attractif et l'absence d'envolée des prix devraient permettre au marché immobilier local de conserver son dynamisme.

À Toulouse, les disparités sont constatées entre les quartiers de l'hypercentre avec des prix progressant de 10 à 15 % (Saint-Étienne, Carmes, Saint-Georges et Saint-Aubin (de 4 000€ à 4 500€ le m² en prix médian), et les autres quartiers qui évoluent peu, à l'exception notable de Bonnefoy (+18 %) et Matabiau (+13 %), dopés par le projet de réaménagement du quartier de la gare Matabiau et l'arrivée prochaine de la Tour Occitanie (150 m de hauteur), programmée pour 2021.

La 3ᵉ ligne de métro, programmée pour 2024, ne fait pas encore ressentir ses effets. « Néanmoins, certains futurs emplacements de stations ont été rendus publics par Tisséo, et nous notons un intérêt des acheteurs pour des quartiers comme les Sept-Deniers, voire les Izards,

Si 80% des ventes se font à Toulouse, la ville rose n’arrive pas en tête dans la course au prix au m², elle est devancée par Balma qui a une gamme d’appartements assez récente ce qui explique les prix. Appelée le Neuilly Toulousain depuis plusieurs années, la commune enregistre un prix médian de 2810€ le m² pour les ventes devant Toulouse, mais aussi Castanet, Blagnac, Tournefeuille où le m² médian se négocie à 2430€.